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LE POUVOIR DE L'ARGENT
Il peut nous diminuer comme nous rendre « invisible ».
Il peut nous valoriser comme se sentir plus haut qu’un piédestal ou nous dévaloriser en rampant après des réflexions désobligeantes.
Soyez prudent ! La terre appartient à Satan. Je m’explique.
Quand Satan a tenté Jésus-Christ, Satan a été éconduit et soumis à cette vérité. Voir Luc chapitre 4 versets 5 à 6. Bible des Témoins de Jéhovah. Les Saintes Ecritures – Traduction d’un monde nouveau. « Il le fit alors monter (sur une montagne) et lui montra en un instant tous les royaumes de la terre habitée ; et le Diable lui dit : « Je te donnerai tout ce pouvoir et la gloire de ces royaumes, parce qu’il m’a été livré, et je le donne à qui je veux ».
Tout ce qui vous attire sur terre, c’est l’œuvre de Satan. L’argent représente Satan. Ne soyez pas trop attaché à ce moyen d’échanges ; vous vous liez, sournoisement, à cet Ange de lumière qui est un destructeur, un menteur, qui veut prendre la place de Dieu qu’il n’aura jamais ! Pourquoi ? Parce que Satan est Puissant mais Dieu est Tout-Puissant. C’est pourquoi, IL vous fait croire des choses, IL vous montre le bon côté de la chose, c’est pour la perte de votre âme.
L’argent nous manipule selon le désir qu’on veuille atteindre.
Un riche vous parlera très sévèrement parce qu’il sait que vous n’oserez jamais vous rebeller contre lui. Il vous méprisera. Vous, de votre côté, vous êtes blessé(e). Il sait qu’il vous fait mal, mais qu’importe, c’est l’argent qui dirige, ou qui lui fait prendre des décisions méprisantes. Rare le frondeur qui osera faire volte-face ! Si ce genre de scène se manifeste, le milliardaire sera très surpris ; dans ce cas précis, soit qu’il maintient son autorité et ne se laisse pas influencer par un individu moins fortuné que lui, soit qu’il redescend d’une ou de deux marches pour avoir une explication. Constatation sévère et rassurante. Mise au point.
Par l’ampleur de sa fortune, le riche pense qu’il est plus intelligent que son esclave ! Erreur !
Souvenez-vous que c’est un esclave qui a découvert le système de la « reproduction » de la vanille.
Qu’il peut tout dire ! Erreur !
Le respect est bafoué ! Il n’y a pas de limite ! Erreur !
Le riche n’a pas de compassion. Il agit, comme bon lui semble. Le riche sait se faire flatter. Plus il est exécrable, plus il est respecté, plus on rampe à ses pieds ; autant de marches que son esclave descend, autant de marches que le riche pense grimper. Jusqu’où ira tout ce mépris ?
Ressentis sur un reportage en Inde.
Un patron avec trois ou quatre de ses ouvriers. La scène se passe dehors. C’était l’heure de la pause du déjeuner. Les pauvres gars étaient en sueur, assis par terre et pour pouvoir se restaurer, ils essayaient d’engloutir, tant bien que mal, le contenu de leurs boîtes de conserves, donc en fer blanc. Le patron qui n’a qu’une ambition en tête l’argent</strong> les gronde en leur disant : « Faites vite ! » « Faites vite ! » Pour moi, cette scène était insoutenable, j’ai changé de chaîne de TV.
Un pauvre, à table, n’a-t-il pas droit à un respect ?
Le riche ne pense qu’à son argent. Il pense qu’il a tout pouvoir en mains. Est-ce vrai ? Si l’esclave est intelligent, à quoi sert l’argent ? Par ses ruses, l’esclave peut agir tout en douceur, soit pour dérober le riche soit pour le tuer. Celui-ci l’a-t-il pensé ? Dans la vie, plusieurs facteurs sont directeurs.
Pas assez d’argent, on ne peut pas vivre honorablement ; n’ayant rien, il n’y a pas lieu de se tracasser la tête. On vit au jour le jour. Le seul souci, c’est de trouver de quoi « caler » son estomac, un boulot et un coin chaud pour roupiller. Le pauvre dormira plus tranquillement que le riche. Il n’a rien à surveiller !
Trop d’argent, on ne vit pas ou on est sans arrêt à penser à la sécurité de ses biens, soit par des gardes du corps, soit par l’assurance. Les cheveux blanchissent. Les traits sont tirés. En jetant des coups d’œil furtifs d’où se cache le magot, l’on entraîne ou indique aux gens d’alentours la présence d’une fortune. Peut-on faire semblant de ne pas le voir ?
L’argent surveille l’argent. Dépenses inutiles. Le riche ne dort pas, il est tourmenté. A quoi bon perdre des heures de sommeil pour quelques sous ? Le sommeil est une richesse et un bien précieux. Quand nous dormons, les batteries nerveuses, musculaires et autres se rechargent. Nous ne pouvons pas éviter ou renoncer à dormir. Le repos, c’est une condition sine qua non pour l’équilibre. Observer : La nature se repose aussi (hiver). En se penchant dans la Genèse, quand l’Eternel a fait toutes les choses de la nature, Il était « fatigué ». Le croyez-vous vraiment ? Non, c’est seulement une leçon de sagesse qu’il a voulu nous démontrer qu’après tout effort, le corps a besoin d’un peu de repos. Heureusement, car l’homme de maintenant nous obligerait à travailler sans relâche, c’est-à-dire, sans dormir. Le patron nous permettrait juste que nous nous restaurassions pendant un court instant et après AU TRAVAIL ! L’Eternel a vu juste pour le bien-être de l’homme. Nous devons l’adorer ! C’est aussi important (le repos) que l’huile et l’essence pour faire vibrer une machine.
La situation peut se retourner contre l’esclave. Le riche, pour bien dormir, et ne voulant pas perdre son bien, vous obligera ou vous paiera, pour deux sous, pour surveiller sa fortune, en cas de cambriolage. L’homme n’est pas conçu pour rester éveillé indéfiniment, ce qui entraîne une baisse de vigilance et le trésor, tant convoité, risque d’être volé quand même. A quoi bon ? Reste à envisager d’acheter un « avertisseur sonore » en cas de vol.
Dépenser pour surveiller le magot ! Quelle honte ! Pour un sage, il est bon de méditer quand Dieu nous revendique dans Mathieu chapitre 6 - versets 19 à 21 – Bible des Témoins de Jéhovah – Les Saintes Ecritures – Traduction du monde nouveau : « Cessez de vous amasser des trésors sur la terre, où mite et rouille rongent, et où les voleurs percent et dérobent. Amassez-vous plutôt des trésors dans le ciel, où ni mite ni rouille ne rongent, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent. Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur ».
Ah l’argent ! Il nous tient par le bout du nez !
Alexandrine Pauline VERONIQUE
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